La moisson est passée, l'été est fini, et nous ne sommes pas sauvés.
Quel profit y aura-t-il pour un homme s'il gagne le monde entier, et s'il fait la perte de son âme ? ou que donnera un homme en échange de son âme ?
La rentrée marque la fin des vacances et le retour à des activités normales, ou encore à des situations difficiles... parfois au chômage. Mais quel sens donner à ces fins d'été ? A ces moments où l'on renoue avec les habitudes ou, au contraire, on se trouve face à l'incertitude. A quoi cela servirait-il d'avoir passé des vacances inoubliables, mais d'être perdu ? De prospérer sur le plan matériel, mais d'être perdu ? A quoi cela sert-il de se relancer dans un tourbillon d'activités, mais d'être perdu ? De prendre de bonnes résolutions, mais d'être perdu ? La Bible nous apprend, en effet, que l'homme s'est détourné un jour de son Créateur, préférant être son propre maître pour suivre ses propres penchants. Et c'est ce choix de l'indépendance qui l'a plongé dans la souffrance, le malheur et la mort. Son obstination à refuser de revenir à son Créateur le conduit inexorablement au pire désastre : la mort éternelle après une vie faite d'espoirs déçus, de désirs inassouvis, de rêves envolés. La conséquence de ce bilan entièrement négatif, la Bible l'appelle la perdition. Et c'est de cette perdition-là qu'elle peut nous sauver, si seulement nous voulons bien l'écouter. Il vaut la peine de faire son entrée dans un domaine entièrement nouveau, celui que nous ouvre la Bible, en commençant à la lire, à l'étudier, à la croire. Il vaut la peine d'invoquer Jésus Christ et de le recevoir pour changer notre vie, pour nous donner une vie nouvelle. Alors la fin des vacances ne nous laissera pas un souvenir plein de nostalgie, mais le merveilleux souvenir d'une rencontre décisive avec le Créateur, avec le Sauveur !
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